Pierre-Louis

Chargé d’Affaires CVC

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Depuis 1 an chez BALAS

« La sécurité, c’est un investissement sur l’avenir. »

Résumez en quelques mots votre parcours :

Mon diplôme d’ingénieur obtenu et après plusieurs stages effectués en bureaux d‘études, j’ai débuté en tant que Chargé d’affaires CVC au sein d’une grande entreprise. Après cinq années passées à apprendre mon métier, j’ai voulu découvrir de nouveaux clients, changer de typologie de marché et travailler selon une nouvelle organisation. L’occasion  de changer d’entreprise s’est présentée lorsque j’ai eu l’opportunité de rejoindre le Groupe BALAS.

Comment définiriez-vous votre métier ?

Le métier de Chargé d’affaires CVC se traduit par une grande diversité de savoir-faire allant des études techniques à la réalisation des travaux (tuyauterie, gaine, calorifuge, électricité, régulation, mise au point). Nos interlocuteurs sont multiples : clients, architectes, maîtres d’œuvre, représentant des corps d’état techniques et architecturaux, sous-traitants, fournisseurs avec qui nous établissons des relations de confiance et équilibrées, indispensables à la réussite des opérations. C’est toute la richesse de notre métier.

Au quotidien, il s’agit de faire converger les intérêts et énergies des acteurs d’un projet, vers une vision commune et partagée. Cela implique d’écouter ses interlocuteurs, analyser avec justesse les situations, faire preuve de diplomatie, être curieux et créatif pour faire émerger des solutions innovantes. Il est donc important de travailler en toute transparence avec ses clients et sa hiérarchie afin de prendre les décisions adaptées à chaque situation.

Garant de la qualité et de l’avancement des travaux, notre métier ne laisse pas de place à  l’improvisation. La préparation, l’anticipation et la parfaite maîtrise technique des projets sont indispensables pour livrer une installation de qualité. C’est également le moyen de gagner la confiance de nos clients, qui choisissent BALAS pour son expertise.

Qu’est-ce qui vous passionne dans votre métier ?

Sans aucun doute ce qui me passionne le plus, c’est la dimension humaine de mon métier : comprendre les besoins de nos interlocuteurs, trouver les mots justes pour motiver, négocier, convaincre.

Je suis également particulièrement sensible aux conditions de travail de mes compagnons. Certains travaux peuvent les exposer à des risques sur leur santé. Il m’incombe de créer les conditions favorables à un travail en toute sécurité en veillant à sa bonne adéquation avec les méthodes, les outils, les protections et la charge de travail. Mon rôle consiste aussi à responsabiliser, sensibiliser, insuffler une dynamique, et replacer la sécurité au centre des préoccupations de mes équipes. C’est passionnant.